ReVoLuCioN.

Dirigeant Nombre de messages : 904 Age : 35 Date d'inscription : 19/06/2006

Chapitre 1:
Le commencement.

Notre histoire débuta ainsi.
C'était alors en l'an 2007 et la Terre était devenue trop petite et poluée.
La surpopulation provoca un peu partout sur le globe des épidémies tuant des milliers de gens sur leur passage.
Les habitants de la Planète Bleue décidèrent de partir à la recherche de planètes habitable à n'importe quel prix. Un vaste projet de colonisation démarra et les scientifiques se mirent à envoyer des sondes pour tester l'atmosphère des planètes à proximité.
Tandis que certaines d'entre elles noffraient pas ou peu d'oxygène, les autres manquaient de ressources naturelles comme l'eau.
Dans le désespoire, des colons partirent dans des navettes spatiales en aveugle pour tenter de trouver des systèmes pouvant accueillir des civilisations.

Des mois passèrent et aucun signe radio ne se firent entendre malgrès les technologies de communication avancés installés dans les vaisseaux.
Un beau jour, le sourir fut redonné à la population terrienne.
En effet, la NASA recu, une nuit, ce message: "Ici Colon Tetra. Planète abordée avec succès. Test atmosphère positif. Recherchons actuellement ressources exploitables. Fin de transmission."
La NASA garda la fréquence utilisée pour garder le contact avec l'équipe de colonisation.
A entendre cette déclaration à la TV, on aurait dit que c'était gagné d'avance, que la planète en question suffirait à abriter une partie des peuples. En tout cas, le sourrir était revenu sur toutes les bouches et c'était déjà ca.
Quelques jours suffirent au groupe de reconnaissance pour trouver ce dont les gens auraient besoins une fois installée.

Transmission:

COLONS: "Ici Colon Tetra. Ressources naturelles exploitables répertoriées. Possession d'eau, de bois et d'acier. Aucun trace de gaz toxic repéré. Attendons accord pour activer balise de repérage. A vous."

NASA: "Ici le Terre. Nous avons recu vos messages. Activation de la balise de repérage autorisé. Attendons confirmation de votre part. A vous."

COLONS: "Balise activée. Attendons les ordres. Fin de transmission."

A partir de ce moment là, on pouvait très nettement voir de l'espoir dans le regard des gens. C'est comme ci, tout d'un coup, ces personnes venaient de gagner au LOTO. Tout le monde se parlait, souriait, riait.

Le soir même, un flash info passa au JT dans tous les pays: "Très chers habitants de la Terre, c'est avec bonheur que je vous annonce l'heure de lancement des vaisseaux de colonisation, 10 pour être précis.
Ils seront envoyé dans 2 jours à midi. Les familles sélectionnées seront apelées directement chez elles. Nous demandons au reste de la population de ne pas s'énerver ni de perturber les opérations."

"Comment je connais toutes ces choses? Tout simplement parce que l'un de nos ancêtres a eu l'idée d'écrire tout ce qu'il voyait. Il a aussi penser à faire des enregistrements pour compléter tout ca. Heureusement pour nous, ses descendants ont continué sur cette lancée. Bon, je reprends."

Je me rapels, qu'après cette anonce, personne ne sorti pour ne surtout pas louper l'apel qui changerait leurs vies. 2 jours s'écoulèrent ainsi. Ma famille fût désignée pour partir vers l'inconnu. Biensûr, nos bagages étaient déjà prêt. Nous partîmes sur le champs.
Lors de notre arrivée sur la base militaire, nous fûmes subjugués par la grandeur de ce vaisseau. Cette carcasse, si massive, était censée nous emmener dans le confint de l'espace.
Nous fûmes guidé à l'intérieur de l'engin et nous prîmes place à bord.
Après un long moment, que je trouvîs interminable, le mastodonte s'ébranla et partit à la conquête de la colonnie.

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Chapitre 2:
Le voyage.

"Mes ancêtres se sont transmit ce journal de génération en génération. Il possède une grande valeur pour notre civilisation. Celui-ci retrace le voyage des différentes familles à bord du vaisseau. Nous pouvons y lire ce qui s'est passé tous les jours. C'est fascinant. Je ne lirais que les passages intéressants."

Journal:

Mois 1; Jour 1:
Lors du décolage, tout le monde se cramponnait à son siège respectif. La poussée était telle qu'on avait l'impression de s'incruster dans la mousse. Pour ma part, je fermais les yeux, l'effroi me gagnant. Allons-nous réussir ou allons-nous nous retrouver perdu dans le vide spatial? Quelques minutes passèrent ainsi au bout desquelles je rouvris les paupières. J'apercus les écrans permettant aux gens de voir l'extérieur. Quelque chose jusqualors inconnu pour tous nous fût révélé. Ce que beaucoup avaient vu à la TV seulement. On voyait la Terre vu de l'espace. Quel spectacle somptueux!!
Jamais je me serais imaginer voir ca un jour. La Planète Bleue; un nom qui prenait tout son sens. Une euphorie parcourait la carcasse de l'engin. Maintenant dans l'espace, les ceintures furent enlevées.

L'heure du repas arriva enfin. Nous avions des rations et nous devions les respecter si nous voulons arriver sur la nouvelle planète sans mourrir de faim. Ce qui est marrant, c'est la lévitation. La nourriture ne tombe pas, elle vole. Je devrais m'y habituer car j'en ai pour un moment.

L'après-midi se passa normalement. Nous avions recu l'autorisation de se balader dans certaines parties de l'appareil.

Le soir, on pût manger. Après ca, il fallait nous occuper puis trouver le sommeil.

Mois 1; Jour 8:
Déjà une semène de voyage. Nous avons rencontré pas mal de planètes mais toutes inhabitables. Les gens discutaient joyeusement, jouaient à différents jeux de cartes. Les plus jeunes essayaient de "jouer à chat" mais sans l'attraction terrestre, cela devenait un véritable défi.

Mois 1; Jour 25:
Cela fait un mois que nous avons quitté la Terre. Je ne sais pas comment ca se passe dans les autre vaisseaux mais ici le temps commence à être long. Les gens parlent avec moins d'entrain et la le désespoir se lit dans leurs yeux. Chacun révasse et s'imagine son futur environnement. Le stock de nourriture s'épuise petit à petit. J'espère que nous tiendrons jusqu'au bout.

Mois 2; Jour 3:
C'est affreux!! Jamais je n'aurais imaginé une telle chose. Nous avons traversé un champ d'astéroide. Les écrans nous montraient l'étendue de ces bloques de roche. Ils sont tellement gros que même nos vaisseaux font petits à côté.

D'un coup, une sonnerie retenti dans l'appareil. Les pilotes recurent une communication radion venant d'un des engins du convoi. Apparement, c'était assez grave puis la liaison fût soudainement coupée. C'est alors que nous comprirent ce qui venait de se passer. Le vaisseau en question avait été percuté par un bloque de roche. Heureusement l'explosion ne toucha pas le restant du convoi.

Tout le monde se regroupa dans la salle à manger. Il règnait un silence si pesant, que les enfants se mirent à pleurer. Nous étions choqué de ce qui venait de se produire. Ensemble, nous avons prié pour les disparus. Je n'avais jamais fait ca de ma vie, mais aujourd'hui, ce ne fut pas un jour comme les autres.

Mois 2; Jour 13:
Aujourd'hui, une grande nouvelle nous fut anoncée. Le contact était établi avec les Colons qui nous avaient permi de garder espoir. Le plus gros était passé, nous arrivions bientôt à destination. Ce ne fut pas tout. Par je ne sais quel miracle, la TV marcha. Désormais, nous savions que d'autres colonisateurs fûrent envoyés sur d'autres coordonnées. J'étais heureux de voir que nous n'étions pas le seul pays à partir vers une lointaine destination. Les concernés étaient les USA, le Japon, l'Allemagne et le Congo. Allez, courage. Nous sommes presque arrivé.

Mois 2; Jour 21:
Ce matin, il nous fût permi de voir une planète sur les écrans. Une foule se rua sur les pilotes pour obtenir des informations. Quel bonheur, c'est notre destination. Un message venant desz Colons nous parvint. Ils ont cultivé la terre et cela donne ses fruits. Nous aurons donc de quoi nous nourrir suffisament. Reste plus qu'à atterrir et à commencer les travaux.

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Chapitre 3:
Le débarquement.

"Tant que vous ne connaîtrez pas tout ce qui nous a mené à ce que nous vivons actuellement, vous ne saurez faire face à l'envahisseur".

Lors de notre arrivée sur la colonnie, Nous avons prit le temps de contempler le paysage. Ce que j'ai eu l'honner de voir à ce moment là était quelque chose de rare sur terre. Une aurore boréale ornait le plafond céleste. Nous nous fîment rapeler à l'ordre par l'un des pilotes. En me retournant, je vît les autres vaisseaux, certains même, à plusieurs kilomètres de notre lieu d'impact.

Après ca, il nous fallut décharger le colonisateur et partir à la rencontre des colons. Nous pouvions appercevoir leur campement mais il était impossible de déterminer exactement la distance. Nous avons mit plusieurs heures avant de l'atteindre. Il était placé en hauteur de facon à pouvoir observer ce qui pouvait se passer aux alentours. Une palissade avait été installée tout autour au cas ou il y aurait eu des animaux, quel qu'ils soient.

La construction de la cité commenca le lendemain à l'aube. Tout le monde s'agitait dans tous les sens. Dabord, il a fallu déterminer l'emplacement de tel ou tel bâtiment. Ensuite nous nou sommes mit à creuser, à la main biensûr, car il n'y aurait jamais eu de place pour emporter une ou plusieurs pelteuses. Un mois fut nécessaire pour arriver à obtenir chaque trou nécessaire. Nous étions fatigué mais c'était un mal nécessaire. Après tout, Rome ne s'est pas faite en un jour. Voilà que les fondations apparûrent puis les murs à leur tour, brique par brique, étage après étage. Lorsque les premiers immeuble eussent été fini, certains habitants, des menuisier et autrers volontaires, prirent l'initiative d'aller chercher du bois pour fabriquer des meubles. La ville prenait forme, tant et si bien qu'il nous fut offert la possibilité de dormir ailleurs que sous des tentes. Côté nourriture, nous nous contentâmes de manger des fruits et des légumes. Nos vivres pour le voyage étaient depuis longtemps épuisés.

Voilà neuf mois que nous vivons ici. Pas mal de convois comme le notre ont été envoyé sur cette planète. Ils ont tous eu le droit au même sort, la construction d'une ville où résider.

Une autre tâche fût à l'honneur, trouver de la viande. Nous créâmes des groupes de chasse pour couvrir un large terrain. Nous avons passé tellement de jours à courrir pour rien que nous étions désespérés. Nous avons tout de même continué et nous avons même changé de terrain de chasse, les montagnes, situées au-delà de la forêt. Le premier contact eut été des empruntes de biches et de loups mais toujours rien à se mettre sous la dent. Il nous fallut une semaine pour capturer la première biche. Avec l'accord de tous, nous ne l'avons pas tué. Elle a été mise dans un enclôt fabriqué à la hate. Une idée nous vînt à l'esprit, faire de l'élevage. Les jours qui suivîrent, absolument tous les habitants mirent la main à la patte. Cette fois-ci, ce fût fructueux. Une dizaine de biches, mâles et femmes avaient été capturées. Nous continuâmes dans cette voie et bientôt l'enclôt devint trop petit. C'est bon, nous pouvons nous nourrir convenablement.

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Chapitre 4:
La vie.

Déjà plusieurs années que nous avons colonisé cette planète. Elle a été nommée Phénixia, en comparaison à ce bel animal qu'est le Phénix. Ce nom symbolise vraiment ce que nous avons vécu, l'humanité renée de ses cendres.

Nous ne sommes plus les seuls à être parti de la Terre. Non seulement, d'autres nous on rejoint ici, mais un certains nombre de planètes fûrent investie. Nous contons actuellement sept colonnies et bientôt huit.

Tout est redevenu comme avant. Chaque famille possède un appartement, chaque citoyen doit aller travailler tous les matins. Nous avons même construit des théâtres, des opéras, des bibliothèques, etc...
Il a aussi fallut penser aux moyens de transport et biensûr, pas question d'utiliser de pétrole sous n'importe quelle forme. Il est hors de question de polluer notre terre d'accueil comme nous l'avions fait autrefois. Le tram s'imposa de lui-même, marchant à l'électricité, pouvant transporter beaucoup de monde, c'était l'idéal. Pour la sécurité, rien n'avait été mit en place. Le traumatisme causé par l'extinction de l'humanité a fait en sorte que plus personne ne s'amuse à voler, tuer, violer ou autre. Un calme surprenant et tellement agrable.

A l'intérieur des appartements, tout le luxe d'autrefois était présent: les frigos, les fours, les gazinières, les lits simples ou doubles, les WC, la télé, etc.....

Autour de ces grandes villes, on pouvait observer les vastes étendues de champs cultivés. Il fallait nourrir toute la population et ne pas mettre une maison par ci, une maison par là.

Pour raccorder les métropoles, il suffisait de prendre le tram. Une heure de trajet était nécessaire pour les plus proches et il fallait conter rajouter une heure à chaque fois que l'on désirait visiter un lieu de plus en plus éloigné.

Le climat est semblable à celui de la Terre. Il n'y a pas de dérèglement des saisons. Il fait chaud l'été et froid l'hiver. Des plages ont été aménagées et c'est assez plaisant, reposant. Pas une centaine de personnes par centimètre carré.

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